C'est la coupe européenne de football. Le Portugal participe  avec une ardeur toute particulière. La culture du foot est ici quelque chose  d'assez fou. Première preuve : les drapeaux. Il y en a partout. À toutes les  fenêtres, dans les cafés, sur les taxis, les voitures, les enfants.
Avant  le premier jeu, les rues étaient assez bariolées. Je suppose que cela ne va  faire qu'empirer. Que l'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit : les  couleurs c'est joli et je suis d'accord. Mais qu'une vingtaine de millionnaires  courent pendant une heure et demie n'a pas à faire oublier tout le reste de la  vie quotidienne. Tout disparaît : la pauvreté dans monde, les ingérences de  l'État portugais, le nom de ses enfants. La situation n'a pas changé depuis  Juvénal : « du pain et des jeux  ».
J'ai quand même bien profité de  ce jeu. Poussé par ma fibre d'anthropologiste, il fallait que je voie tout ce  procédé en détail.
Écran géant à Alameda.Ci-dessous, le sujet au journal télévisé. Cela reflète bien la bonne humeur qui régnait. D'autant plus qu'on a gagné 2-0 contre la Turquie !
4 commentaires:
lol só fogo de vista... estes portugueses são loucos...!
Há talvez pior do que os Portugueses. Olha aqui:
http://www.boston.com/bigpicture/2008/06/2008_nba_champs_celtics_rollin.html
o link está partido...
então tenta assim
Enregistrer un commentaire