A Lisbonne aussi le brouillard existe!

Photos en vrac

Lisbonne. La nuit. Étrange regard sur les statues.

Cabo da Rocas, le point le plus à l'est de l'Europe continentale.

Une après-midi au labo

Voici le laboratoire où moi, le scientifique fou, sanguinaire et sans scrupule, projette de faire fondre la planète avec mon laser TeraWatt!

Bon là je suis un peu paniqué parce que je viens de lancer le processus en laissant tomber un truc. Pas très rassurant le compte à rebours qui égrène, implacable, son 9, 8, 7,...

Tout va bien. J'ai réussi à stopper le compte à rebours. Cela aurait été une honte que de faire exploser le monde le ventre vide.

Avant d'aller manger, je dis au revoir à mes midgets qui pédalent pour fournir le courant au laser.

Montée au ciel

Trouvez l'erreur

Un simple coucher de soleil.

Que celui ou celle qui pense avoir trouvé une explication laisse un commentaire.
Je confirmerai.

Visite guideé de chez moi

Cela commence par un lever de soleil. Un coucher de lune.
Depuis ma terrasse.

Je me lève, vais sur ma terrasse, et dit bonjour à Lisbonne. La vue est vraiment fantastique!









Je passe là quasi tout mon temps. C'est un endroit si agréable. Le reste du temps, je fais à manger.







La cuisine.

Remarquez le délicieux carrelage.
Les autres pièces sont recouverte d'un parquet magnifique.

En bas de chez moi.




Une grande place.
Avec une fontaine et des gens qui jouent aux cartes.

Pas loin. Un bonjour entre voisins.

Et cela finit par un coucher de soleil.
Depuis la terrasse.

La bouffotographie...

... ou comment un repas simple peut se transformer en un formidable épopée photographique.



















Aliments simples mais bons.
Les guides sont là pour veiller au bon déroulement des choses.





















La vue angoissante de la miette envers son bourreau et sa mère.
Wow! De la poésie maintenant... :-)















Ying
et
Yang


version tomate.

Internet gratos

Internet. J'en ai besoin, c'est certain.

L'arrivée à Lisbonne fut donc marquée d'une angoisse qui prend aux tripes (ou presque) : "Mais ouske je vais avoir internet?" Réponse facile. A l'unif, il y a internet sans fil gratuitement. C'est la cause de mon si taux de fréquentation si élevé à l'école ces temps-cis.

Puis, en y repensant, avoir internet chez soi, ce serait pas mal non plus. Or il se fait que j'habite en face de l'école, mais un peu loin. Chez moi, je capte presque internet. Il faut que le vent aile dans la bonne direction. Ça se voit sur la photo : j'habite un peu loin. Les deux tours noires sur la gauche font partie de mon école, l'IST. J'habite en face, juste derrière les arbres. Mais on ne vois pas la maison sur la photo. C'est loin, mais il n'y a pas d'obstacle. Nous sommes sur deux collines opposées.

Le face-à-face

J'ai alors eu l'idée d'acquérir une antenne. Mais il se fait que ces antennes sont très peu vendues. Construire soi-même son antenne semble par contre monnaie courante. Il y a plusieurs manières de faire. Une, très facile, et beaucoup de compliquées (ici, un type qui construit plein de type d'antennes et qui va jusqu'à tracer les diagrammes d'émissivité). J'ai essayé la manière facile.

Cela consiste à placer une antenne wifi (la même taille qu'une clef USB) au centre d'une parabole (c'est le même principe pour écouter l'espace). L'antenne seule (on voit les tours de l'école en arrière plan) ne capte pas grand chose. Mais, au foyer de la parabole, tout change. Les ondes wifi convergent pour donner un signal bien plus fort.

L'antenne se sent seule sans son ami de toujours: le plat à fruits parabolique.

Cette splendide antenne, une fois orientée, donne des résultats! Incroyable, mais vrai.

Quels résultats cela donne-t-il? Voyez seulement, et admirez (à la fin du message, je fournirai des indications quant à la meilleure manière de me vénérer). La différence est flagrante. Voyez le nombre de réseaux détectés, avant et après l'antenne.

Seulement, il y a un hic.

Le problème est celui-ci: j'arrive à capter le signal de l'école, mais encore faut-il que je parvienne à lui envoyer également un signal, ne fut-ce que pour lui dire "je veux aller sur telle page internet". Malgré le style impeccable et la fascinante beauté de la réalisation (tidjuu, ces cols de chemise qui sont toujours trop étroits), l'aventure s'est achevée ici.

Enfin, achevée... elle a pris une autre direction. Maintenant, je pense essayer le modèle commercial. Cela vaut la peine. Internet gratuit pendant un an à la clef (et la frime assurée).

Il faut seulement espérer ne pas trop dépendre du vent...

A voir, et à suivre.

Euh...

Voici le début de mon blog. Serai-je fidèle? Intéressant? Original?
Pff! Faut pas trop en demander non plus. Ceci n'est rien d'autre qu'un test. S'il me plait, je poursuivrai.
Pour commencer, la fin du discours.
Et place à quelques photos.


Magnifique bâtiment moche sur beau fond bleu.


J'ai toujours aimé l'alimentation électrique des trams.


Fuis petite! Elle va te manger la vieille.